Revue «vertical»

Les accidents sont toujours des situations de crise dont les circonstances peuvent être aggravantes pour le patient souffrant de spondylarthrite. Dans son article, le Dr Siegfried Seidl de Salzbourg insiste sur le traitement d’urgence des patients souffrant de spondylarthrite; à quoi les médecins traitants doivent penser en cas de narcose ou de réanimation.

Wiebke Caesar-Kolling est physiothérapeute diplômée. Durant ses activités en clinique et en cabinets privés, elle a suivi une formation en thérapie manuelle, Bobath et drainage lymphatique. Depuis l’année passée, elle est également professeur de yoga. Depuis février 2005, elle dirige tous les lundis deux groupes Bechterew au centre de soins Käferberg, à Zurich.

La spondylarthrite ankylosante chez l’enfant? Elle existe bel et bien même si la terminologie médicale use d’autres termes. Cet article portera donc sur la spondylarthrite juvénile. La maladie est rare chez l’enfant et ses symptômes diffèrent de ceux rencontrés chez l’adulte atteint de spondylarthrite ankylosante. Il importe de s’informer sur la forme juvénile de la spondylarthrite ankylosante, en particulier, pour les parents d’un enfant atteint de cette maladie.

Les maladies chroniques telles que la spondylarthrite ankylosante par exemple ont des répercussions sur la vie de couple et la sexualité. Les deux articles qui suivent traitent de quelques problèmes pouvant survenir dans la vie de couple. Les difficultés n’y sont pas uniquement évoquées, mais on y discute également de solutions concrètes.

La spondylarthrite ankylosante n’est pas une raison d’appréhender la vieillesse. En effet, beaucoup de patients âgés ont appris à gérer leur spondylarthrite ankylosante. Souvent, leur maladie ne restreint pas beaucoup leur qualité de vie. Et pourtant, des dangers les guettent. Pour bien vivre cette période de la vie, il faut s’informer à temps et apprendre à éviter les dangers.

Beaucoup de patients atteints de la spondylarthrite ankylosante recherchent pendant des années des thérapies qui leur conviennent. Cette quête les amène tôt ou tard aux plantes médicinales. Que peuvent-ils en attendre? Des études sur le sujet n’ont été réalisées que pour d’autres maladies inflammatoires chroniques. Nous en discuterons cependant dans cet article comme leurs symptômes sont comparables, à plus d’un égard, avec ceux de la spondylarthrite ankylosante. Nul doute que les résultats de ces études doivent être appliqués avec des réserves à la spondylarthrite ankylosante. Ils offrent cependant d’autres thérapies dont le caractère est en partie expérimental.

Le Bechterew a besoin de bouger. Mais une spondylarthrite empêche souvent de bouger et de se déplacer, au sens propre comme au sens figuré. La personne atteinte de spondylarthrite ankylosante ou d’une autre spondylarthropathie ne doit pas pour autant renoncer à un voyage de vacances ou d’affaires. Il lui suffit de tenir compte de certains points particuliers lorsqu’elle planifie son voyage et qu’elle est en voyage. Cet article regroupe les aspects médicaux les plus importants et les observations faites par de nombreux patients.

C’est en août 2004 qu’a débuté en Suisse une étude à long terme sur la spondylarthrite ankylosante. Cette étude qui s’étendra sur cinq ans au minimum veut tenter de donner pour la première fois une image aussi complète que possible de l’évolution à long terme de cette maladie en Suisse. Il y sera aussi étudié la manière dont la maladie influence la vie quotidienne des patients.

La spondylarthrite ankylosante (ou maladie de Bechterew)est une maladie rhumatismale inflammatoire chronique dont l’origine est encore inconnue. Une fois déclenché, le processus inflammatoire est d’une durée indéterminée, ce qui explique le qualificatif «chronique» attribué à la maladie. L’inflammation touche l’appareil locomoteur, parfois aussi les yeux et des organes internes. Nous nous concentrerons ci-dessous sur la pathogénie, parfois mystérieuse, de l’appareil locomoteur.

La personne atteinte de la spondylarthrite ankylosante a besoin de bouger: une vérité qui vaut aussi pour la thérapie dans l’eau. Comparée à la thérapie à sec, la thérapie dans l’eau offre différents avantages que l’on peut aussi utiliser de manière spécifique. Pour de nombreux spondylarthritiques, les exercices dans l’eau à 32°C et au-delà représentent un traitement efficace.